Silence de mort, qui étouffe et étreint. Silence de vie qui contient et féconde. Le texte de Noël Dauvel a été écrit comme un mémoire dans le cadre d'une formation de cinq ans à l'enseignement du yoga. Les étudiants y étaient invités à y traiter un thème qui leur importait, mûri et éclairé par leurs années de formation. Quand j'ai eu ce texte en main, j'ai tout de suite souhaité rendre hommage en l'éditant à ce parcours bouleversant et à la façon, si modeste et précise qui en rend compte.